26 septembre 2010

Hautefeuille. Hotfeuille.





Un beau moment ! Chouette et dynamique ! On en reparlera...















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24 septembre 2010

Azimuts rentre dans le temple du théâtre en salle...

4 compagnies Lorraines sont sélectionnées pour présenter leur prochaine création aux plateaux Lorrain, pour la première fois une compagnie arts de la rue vient présenter son travail... à suivre le 4 et 5 novembre prochaine. Michael.

WATT !

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23 septembre 2010

la presse

21 septembre 2010

La vie des arts.

Dans la même journée... Reunion "Entrailles" et Branks. La vie comme elle va...






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Les Branks seront à Hautefeuille (77) ce samedi 25 septembre de 18h30 à 20h au domaine Emmanuelle.

20 septembre 2010

La lecture au galop







1ère sur le territoire avec la bibliothèque de Brauvilliers, la bibliothèque départementale, la Codecom et Azimuts. Un peu de défrichage rural.
à 10h à Couvertpuis avec la compagnie et beuglements intéressés des vaches.
à 17h à Brauvilliers dans l'intimité de la bibliothèque.
zabote

16 septembre 2010

Signature

Quelles photos de la signature officielle de la convention entre la DRAC, le département, la Codecom de la Haute Saulx et la Cie Azimuts. Michael












14 septembre 2010

encadrer les murs...



... ou expo en construction.
Nos bénévoles assidus :
Guy, comédien à l'atelier théâtre adultes mais aussi faiseur de cadres, peinture et installation comprises...
accompagné de Marie-Claude non moins polyvalente et assidue !!!
Tout cela pour la signature officielle du conventionnement de la Cie sur le territoire mercredi à 17h.
Zabote

11 septembre 2010

Roubaiiiiiiix !!



















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08 septembre 2010

Entrailles. Starting blocks.




Entrailles. Le nouveau projet (Mickael Monnin et Isabelle Raulet)) de la Cie Azimuts, autour de la Femme (texte d'Isabelle Raulet d'ailleurs), autour d'une vie qui s'écoule, autour de sentiments confidents. Un projet Art de la Rue puisque tout est autonome et... waterproof !


Théoriquement, de l'électroacoustique partout, une scénographie de HP déshabillés, des fibres optiques, des drones (voir Eliane Radigue*), des capteurs de mouvement, MAX-MSP, LIVE (Gabriel Fabing), des illusions psycho-acoustiques, des sensations d'infra-basses, des "rayons de sons" (voir Varése*), des mobiles sonores (Calder ?), de l'acousmatique, de l'immersion, du transport, du tantrisme sonore, du mirage (voir Turrell* et la NASA). A ce niveau de réflexion, tout est permis. Pas de limites.

Sans folie, pas de réalité.

Un projet d'intérieur dehors d'ailleurs. Les entrailles et le viscérale. La nature, aussi, d'une certaine manière. Greffée au son, à l'architecture des installations (Thierry Devaux*, Davide Galaire et Laurent Diwo), à la diffusion éparpillé du son. Une fragmentation de microscope lié au fourmillement des coins de verdure.


Et puis du corps, du corps et de la danse (Andréa - Cie La Smala), des voix multipliées, dispersées, retravaillées, des déambulations, des
Tout est en l'état. En tête et au brouillon. Jeté en pâture à l'avis, à la confrontation. C'est le projet, ce que l'on y voit sans contraintes et ce que l'on y désire. Ce moment ne porte pas de problèmes, que des idées, que des possibles. Deus ex machina pour ceux qui projètent le devenir sur feuille vierge.

Puis, ensuite, les grains de sable....
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