suite des aventures branks au paléo en suisse. décidément ce festival recèle une panoplie de surprise. un festival tout en douceur. et d'ailleurs... la zone "rue" est accueilli par "la ruche", un endroit au type circassien et arts de la rue. un endroit à part du festival, une alvéole de petites choses dont le son ne pouvait rivaliser avec la grande scène et dont la parole ne pouvait exister dans la jungle du site. car tout de même ce festival est un paradoxe. beaucoup de convivialité mêlé à une grosse machine. étonnant de calme et de sympathie.
et l'improvisation dans tout ceci ? un pari. trouver des rythmes différents, tenter le groupe, oser l'intervention décalée. impossible ici d'être dans la finesse sonore. les branks fabriquent donc des micro événements localisés, des occupations, des fixations, des prises d'espaces. et puis des incongruités visuels, des troubles, des apparitions.
day 2 aura donc vu les branks en entrée de festival prenant une voiture en otage, détournant les vendeurs de billets à la sauvette pour finalement dessiner une "rue sonore" à coup de barrière vauban, de poubelles, de crissements de poteaux.
le grand plaisir est dans les regards étourdis....
malgré tout le paléo n'est pas hors du temps. il est même sous la pluie. un peu. pas très longtemps.
aa
et l'improvisation dans tout ceci ? un pari. trouver des rythmes différents, tenter le groupe, oser l'intervention décalée. impossible ici d'être dans la finesse sonore. les branks fabriquent donc des micro événements localisés, des occupations, des fixations, des prises d'espaces. et puis des incongruités visuels, des troubles, des apparitions.
day 2 aura donc vu les branks en entrée de festival prenant une voiture en otage, détournant les vendeurs de billets à la sauvette pour finalement dessiner une "rue sonore" à coup de barrière vauban, de poubelles, de crissements de poteaux.
le grand plaisir est dans les regards étourdis....
malgré tout le paléo n'est pas hors du temps. il est même sous la pluie. un peu. pas très longtemps.
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