et bien elle continue à se consumer.
alors, les Branks attaquent la période 2 de leur création.
en route, 3 résidences d'une semaine avec des nouveaux musiciens improvisateurs (séverine fel et élise chatelain site, véronique mougin et michel deltruc , pour alimenter les pistes d'improvisation) et un danseur contemporain qui connait bien la Rue (karim sebbar, pour développer cette conscience du geste et de la justesse). et puis, et puis, la création de petites formations à 3, à 4, pour renforcer cette individualisation des propositions dans le collectif.
la perspective est clairement de donner à chacun l'occasion de devenir plus solide et d'être en soi un tout.
travail de la clarté des initiatives, travail de l'acuité concernant le choix des "points d'ancrages" - éléments de la Rue provoquants les improvisations - travail de la solidité musical (tenir seul l'enjeu sonore du moment, toucher rapidement l'éfficacité et la conviction), travail des explorations pluridisciplinaires (présence théâtrale, geste, imagination de visuels abstraits...).
voici donc les Branks de nouveau en route vers les terres excitantes et fébriles de l'invention. c'est un plaisir mais aussi une inquiétude. il faut "tenir le pas gagné" disait Rimbaud et il avait bien raison. mais quelle aventure !
se concevoir, se projeter, se jeter même dans la construction d'un vade mecum propre au Branks, lâcher soi certes, mais lâcher aussi ses certitudes de compétences (nous ne sommes pas que des musiciens, ni uniquement des artistes de rue, ni seulement des improvisateurs de matières sonores).
c'est toujours un pari, c'est encore une dynamique.
"ça bouge sous vos pieds" était le titre d'une émission de radio de nancy, et bien, on peut le dire, ça bouge sous les pieds des Branks !
aa
alors, les Branks attaquent la période 2 de leur création.
en route, 3 résidences d'une semaine avec des nouveaux musiciens improvisateurs (séverine fel et élise chatelain site, véronique mougin et michel deltruc , pour alimenter les pistes d'improvisation) et un danseur contemporain qui connait bien la Rue (karim sebbar, pour développer cette conscience du geste et de la justesse). et puis, et puis, la création de petites formations à 3, à 4, pour renforcer cette individualisation des propositions dans le collectif.
la perspective est clairement de donner à chacun l'occasion de devenir plus solide et d'être en soi un tout.
travail de la clarté des initiatives, travail de l'acuité concernant le choix des "points d'ancrages" - éléments de la Rue provoquants les improvisations - travail de la solidité musical (tenir seul l'enjeu sonore du moment, toucher rapidement l'éfficacité et la conviction), travail des explorations pluridisciplinaires (présence théâtrale, geste, imagination de visuels abstraits...).
voici donc les Branks de nouveau en route vers les terres excitantes et fébriles de l'invention. c'est un plaisir mais aussi une inquiétude. il faut "tenir le pas gagné" disait Rimbaud et il avait bien raison. mais quelle aventure !
se concevoir, se projeter, se jeter même dans la construction d'un vade mecum propre au Branks, lâcher soi certes, mais lâcher aussi ses certitudes de compétences (nous ne sommes pas que des musiciens, ni uniquement des artistes de rue, ni seulement des improvisateurs de matières sonores).
c'est toujours un pari, c'est encore une dynamique.
"ça bouge sous vos pieds" était le titre d'une émission de radio de nancy, et bien, on peut le dire, ça bouge sous les pieds des Branks !
aa
