14 octobre 2010

Pauuuuuuse !!!!

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Test hp.

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Interview et infos pour la maquette de samedi.

Comme souvent... les journalistes sont les premiers prévenus. "Le Progrés". Ouf. Annonce de la maquette du samedi 16 octobre...




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Test voix.



Introduire de la voix, du texte, de la chair dans le dispositif électroacoustique est un enjeu et une gageure.







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Vieillesse... Une scène.














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Up Up Up !



Alors que les 33 remontent, les 5 plongent dans "Entrailles" sans soucis, sans phénix*, sans regrets pour la surface des choses. Et au fond de l'affaire, ce n'est que sons électroacoustiques, multidiffusion, baignades bleues électriques, sensations acoustiques, environnement sonore et tressaillement d'ondes.
Tout le pari cependant tient dans les paris. Et par exemple cette question typique de résidence de recherche avant même celle de création : comment recomposer un espace sonore improvisé pour l'exporter dans une bande-son qui ne soit ni figée, ni morte, ni détachée de l'instant où tout se joue. Un casse tête.



On pense à l'aléatoire dans la diffusion, on imagine des déplacements du son donnant l'impression de mouvement et de vie (les rayons de son chers à Varése), on suppute sur les jeux acoustiques des proximités et des lointains "drones" (où l'auditeur compose de lui-même ses champs sonores), on repense à l'aspect physique visible du son (les éléments visuels induits par les vibrations de la membrane, où l'intégration scénographique des haut-parleurs par exemple), on ose croire aux immersions psycho-acoustiques (des amphithéâtres d'acousmoniums !*), aux leurres, aux trompes-l'oreille, aux effets de sub-basses ou de voutes sonores.... avec un premier obstacle qui est la simple mise en place d'une diffusion liée à son mode de création. Ce n'est pas le tout d'inventer, dans une salle, un espace aux sons mobiles, équipé d'un ordinateur, d'une carte 16 sorties et de logiciels (détournés de leur finalité tout de même), encore faut-il, déjà, penser à l'exportation en extérieur et sans musiciens de tout ceci. L'enjeu du son de cette création est là.



Et la recherche passe aussi par définir les modalités de composition (de l'improvisation à la fixation sur bandes, de la composition à la recomposition in situ, de l'empirisme directement sur le terrain ou de l'adaptation pas à pas selon les contraintes), comme celle du mode de travail (l'outil "Live" plus facile pour le direct mais compliqué pour la transposition en bande-son ou l'outil "Logic Pro" et "Cubase" plus facile en composition architectural du son mais complexe pour les improvisations).
Les résidence ne sont finalement que cela. Tester, tenter, inventer des passerelles, des bidouilles, dénicher les trouvailles, poser les problèmes pour s'occuper des solutions, projeter en laissant tout les esprits ouverts, choisir et jeter, jeter, jeter.
Tout est là. Trouver et jeter. Oser ne pas garder et être sur le fil en permanence, les pensées rivés sur l'idée, et en tête, vissée, la poursuite de ce qui n'est pas encore fait. Inventer des parcours, des moyens, des cheminements, transposer une singularité, une expérience, une volonté, une envie, une idée, combiner, sauter le pas. La création est là. Puisque soit disant tout à déjà été fait, alors il ne reste que ce l'on est, là, de suite, pour tout réinventer. L'unique de chacun restera toujours une création neuve et merveilleuse.

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13 octobre 2010

Entrailles toujours à Moirans...





Branks forever.



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Le Jura vibre d'électroacoustique et de danse...











































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Entrailles démarre dan sle Jura !

"Entrailles", le nouveau spectacle de la Cie Azimuts* se met en branle (à "La vache qui rue"* - Moirans, dans le Jura) en bouleversant un peu toutes les habitudes. Et voilà que les résidences de recherches ne sont pas uniquement un réceptacle de compétence certaines mais moment de tentatives, de ré-apprentissages, de déboulonnage des manières de faire. Multidiffusion, logiciels détournés, bricolages au fer à souder, mélanges des ohms ou des impédances, comment savoir, torsions sonores de haut-parleurs de voiture, casses tête des sorties, des bus, des imput, des aux, des formats, des synchros, des buzz, souffles, fréquences, répartitions.... bref, une résidence de recherche pour voir ce qui fonctionne et ce qui implose. Ah ben voilà.

Entrailles ce sera trois "espaces" en pleine nature, une déambulation prévue pour 200 personnes, ballotés dans l'histoire d'une vie de femme, bousculés par des comédiennes, des danseuses, des projections vidéos, des immersions sonores et on ne sait, et on ne sait encore. Car le son comptera beaucoup. La scénographie (de Thierry Devaux*) sera d'ailleurs proche d'une architecture sonore. Élévations, enterrements, mise en forme, moulage, noyautage de haut-parleurs sonores, visuels, aquatiques, vitrifiés, vibrionnant, acteurs entièrement de l'endroit. Il s'agit d'un parcours psycho-acoustique, d'une féerie des illusions et des perspectives déformées.

En attendant l'heureux événement (2012), ce ne sont que tests, émerveillements devant le ridicule grésillement d'un woofer et pleurs devant la petite fumée d'une enceinte brulée. La résidence de recherche fondamentale passe forcément par le kaput !


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12 octobre 2010

Et la vie nocturne....

22:19


























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